Références :
Hôpital UCL St Luc de Bruxelles : tout particulièrement
Centre de recherche Institut LUDWIG de Bruxelles :
Hôpital ULB ERASME de Bruxelles :
Hôpital AZ VUB de Bruxelles :
Hôpital Ougrée de Seraing :
Hôpital de la citadelle de Liège :
Hôpital St Camille de Namur :
Hôpital ULG Bavière de Liège :
Hôpital AZ St Jan de Bruges:
Hôpital Princesse Paola d’Aye Marche-en-Famenne
Laboratoire Aerts & Filot de Seraing
Laboratoire Trabert de Liège
Laboratoire Santé Vie de Verviers
Laboratoire Château Rouge de Herstal
Laboratoire Ste Rosalie de Liège
Laboratoire CHU Hôpital Brugmann de Jette Bruxelles
Clinique Peltzer de Verviers :
Domaine de connaissance opérationnelle :
La gestion hospitalière notamment :
Les services médicaux spécialisés dont :
Domaine de connaissance fonctionnelle : au niveau de la sidérurgie
Références :
Groupe ARCELOR - MITTAL ( anciennement Cockerill-Sambre puis Usinor ) :
Groupe DUFERCO :
Domaine de connaissance opérationnelle :
L’ensemble de la chaine de traitement ( phase à chaud et phase à froid ) pour aboutir à la réalisation du produit final “Coil” dont :
1. Cokerie
La cokerie réalise, à partir d'un mélange de charbons, la production de coke nécessaire à la marche des hauts fourneaux et traite le gaz issu de la carbonisation.
2. Agglomération
L'agglomération alimente en aggloméré hématite les hauts fourneaux. L'opération d'agglomération a pour objectif de fabriquer, à partir d'un mélange de fines de minerais, un produit synthétique calibré directement consommable aux hauts fourneaux.
3. Haut fourneau
La production de fonte s'effectue à l'intérieur du haut fourneau par un échange thermique et chimique à contre-courant entre l'aggloméré et les gaz réducteurs issus de la combustion du coke et du charbon injectés aux tuyères du fourneau.
4. Aciérie
La fonte en provenance des hauts fourneaux est désulfurée, puis dirigée vers l’aciérie qui possède deux convertisseurs de 245 t à soufflage par le fond et par le haut.. 205 t de fonte liquide sont enfournées à environ 1 350° C dans le convertisseur. L'enfournement est complété par 65 t de ferrailles solides. Après une élaboration par soufflage à l’oxygène durant 30 mn environ, on obtient 245 t d’acier liquide par oxydation du carbone et d'autres éléments dissous dans la fonte (manganèse, phosphore, silicium). L’acier liquide est ensuite dirigé vers la station d’affinage et/ou le dégazage en cuve, pour des traitements métallurgiques et d'additions d'éléments d'alliage. On obtient ainsi la nuance spécifique à chaque application Client.
5. Coulée continue
La coulée continue est le process qui permet la solidification de l’acier sous forme de brames dédiées aux aciers plats minces au carbone. Des caractéristiques déterminantes de surface et de santé interne des produits, spécifiés par l'application finale, sont obtenues lors de cette étape de fabrication.
6. Laminoir à chaud
L’opération de laminage à chaud consiste à réduire l’épaisseur des brames pour les transformer en bobines de tôle : Les brames sont réchauffées à 1 200° C dans les fours à brames. Elles passent ensuite successivement dans une cage universelle réversible, une cage intermédiaire et un train finisseur composé de 6 cages pour être enroulées sous forme de bobines à chaud sur une enrouleuse. Les épaisseurs, sortie laminoir à chaud, sont comprises entre 1,5 et 8 mm.
A. Couplage
Décapage
Les bobines de tôles laminées à chaud et destinées à être relaminées à froid présentent en surface une pellicule d'oxyde de fer, appelée calamine, qu'il faut éliminer avant passage entre les cylindres du laminoir à froid. Cette élimination se fait par décapage chimique à l'acide chlorhydrique, précédée d'une préparation mécanique à travers une planeuse sous traction.
Laminoir 4 cages
Il est couplé au décapage et a pour fonction le laminage en continu des tôles décapées. Après avoir traversé l'accumulateur du train, la bande en continu, constituée de bobines à chaud décapées, subit des réductions successives à travers les 4 cages du laminoir. Les épaisseurs obtenues vont de 0,35 à 3 mm. Les bobines du laminoir à froid recevront une valeur ajoutée (recuit, revêtements métalliques ou organiques) .
B. Recuit
L’opération de recuit, traitement thermique qui succède au laminage à froid, a pour but de restaurer la structure de l’acier qui, fortement écroui au laminage à froid, est devenu dur et cassant. Le recuit consiste à amener la bande à une température supérieure à celle de recristallisation, puis à la refroidir dans des conditions bien déterminées, restituant ainsi à l’acier toutes ses qualités d’emboutissabilité.
Deux voies sont actuellement possibles :
-- Le recuit continu où la bande est déroulée et recuite en quelques minutes au cours de son passage dans un four
-- Le recuit sur bases peut s'effectuer en bobines serrées ou en bobines expansées, la durée de cycle se situe autour de 50 h.
C. Ligne de galvanisation
La galvanisation en continue consiste à recuire et recouvrir d'une mince couche de zinc (entre 5 et 20 µ), par passage dans un bain de zinc fondu, les deux faces d'une bande d'acier laminée à froid et recuite. La galvanisation protège l'acier contre la corrosion et prolonge ainsi sa longévité. Le procédé de galvanisation permet de réaliser 2 types de revêtement : Zinc pur et Alliage Zinc Fer. Les principaux secteurs d'utilisation sont l'automobile, l'électroménager et l'industrie générale.